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Salamina 02/12/2009

Posted by echolombia in Colombie 2009-2010, Zone caféière.
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Iglesia de Salamina

Nous avons fait le tour de Manizales et avant de quitter el Eje Cafetero, nous souhaitons visiter un petit village traditionnel. Nous avons déjà vu rapidement Salento, nous souhaitons en voir un autre. On nous conseille Chinchina, Marsella ou Salamina. Selon la femme de ménage de l’hostal, Salamina est très joli et se trouve à 1h30 de Manizales. Va donc pour Salamina!

Nous arrivons au treminal de bus à 10h10. Les bus partant à l’heure pile, nous optons pour un taxi collectif, qui part dès que 4 personnes ont acheté le ticket. 10 minutes plus tard, deux compagnons de route nous rejoignent et c’est parti.

Le gouvernement étant en train d’entreprendre de grands travaux (avec raison) sur la route qui mène à Salamina, il faut en fait rajouter une heure de trajet en raison de trous sur la route, ralentissements et circulation alternée. Heureusement, le paysage est magnifique. En plein coeur de la cordilière centrale des Andes, nous passons, à flan de colline, le long de champs de café, de canne à sucre et voyons depuis la voiture d’innombrables fincas (fermes traditionnelles) ou les paysans à cheval cultivent des champs sur des pentes abruptes.

Depuis la place centrale

Arrivés à Salamina, nous traversons la rue centrale et arrivons à la Place centrale ou nous dejeunons. Nous faisons connaissance à notre table avec Alvarro, compteur public (nous ne savons pas exactement en quoi consiste son métier, nous attendons les lumières des fidèles lecteurs de notre blog) avec qui nous sympathisons. Il est à Salamina pour son travail, mais il rentre le soir même à Manizales, où il habite. Il nous propose donc de nous ramener.

Nous passons l’après-midi à nous promener dans la ville. Les maisons sont toutes peintes de différentes couleurs, les volets et les portes de couleurs différentes que les facades. Le soleil éclaire tout celà et une église blanche au coeur de la ville donne un véritable cachet à la place centrale.

A 15 heures, nous assistons à la procession de la Vierge, prélude aux festivités de Noël et aux illuminations qui commenceront le 7 décembre. Nous ne verrons malheureusement pas les illuminations mais il parait qu’elles sont fameuses dans tout le département (ou tout le pays, voire même au niveau international – oui, bon, parfois, les colombiens exagèrent un peu…)

A 17 heures, nous rejoignons notre chauffeur, Alvarro, qui est accompagné de Nelson, un ami, qui nous accompagne également jusqu’à Manizales.

Iglesia de Aranzazu

Le trajet du retour est chaleureux. Nous discutons de tout et de rien (de la conception de la fidélité chez les colombiens, de ce que l’on mange dans les deux pays…) avec nos deux acolytes. Et surtout, nous avons droit à une visite guidée des vallées et un arrêt au petit village de Aranzazu, village natal de Alvarro,  qui mérite bien un arrêt.

Retour tardif à Manizales, nous aurons vu beaucoup de choses, mais aussi passé pas mal de temps dans la voiture. Avec un grand merci à Alvarro, pour le retour gratuit et riche qu’il nous a offert.

Si nous avions su, nous aurions pris nos affaires le matin à Manizales et aurions dormi à Salamina, avant de continuer sur Medellin. Notre conseil donc aux futurs voyageurs; les petits villages de Salamina, Aranzazu (et parait-il Aguadas que nous n’avons pas vu) peuvent être d’excellentes villes étapes sur la route entre Medellin et Manizales. Les villages sont beaucoup moins touristiques que Salento mais n’en sont pas moins jolis !

Notre dernière journée dans el Eje Cafetero se termine, nous prenons dès le lendemain un bus direction Medellin (4 heures de trajet).

Manizales – bis 01/12/2009

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Nous étions déjà passé par Manizales, et après notre tour en montagne, nous y revoilà. Nous optons pour l’hostal des routards, le Mountain House Manizales. On y trouve eau chaude et internet, ce qui nous a manqué pendant 5 jours. L’ambiance est sympa, jeune et internationale. Nous y croisons des anglais, canadiens et espagnols, mais ce n’est pas ici que Philippe va travailler beaucoup son espagnol.

Nous prenons une journée pour récupérer, répondre à nos mails, récupérer nos affaires laissées à Villamaria chez Rosa et tester un hamburger végétarien (Rushi vegetarian, sur l’Avenida Santander, vraiment excellent)

Comme nous avions déjà visité le centre ville, nous optons pour le Recinto del Pensamiento, à 20 minutes de Buseta de la ville. On peut traduire le nom par « l’Enceinte des Pensées ». Selon notre Petit Futé, il s’agit d’un des lieux très appréciés du Président Uribe. Nous ne l’avons pas vu, nous ne confirmerons donc pas l’information. Mais nous pouvons dire qu’il s’agit bel et bien d’un endroit calme, reposant ou la nature y est reine.

En arrivant, une guide nous fait visiter le jardin des plantes médicinales (dont la marijuana et la coca, dont on fait ici une utilisation plus intéressante qu’en Europe !). Puis une autre guide, Margarita, nous prend en charge pour 1h30 de visite. Un télésiège nous amène à un observatoire d’oiseaux. Nous verrons des colibris, nous n’entendrons que les autres. Pour les voir,  il faut venir tôt le matin ou à la tombée de la nuit. Ensuite, Margarita nous amèmera à travers le jardin ou nous verrons la papilloneraie, le jardin de bonzais puis une forêt où poussent de nombreuses variétés d’orchidées (dracula, buffalo, Josefina…).

Reposant, calme, beau, le « Recinto del Pensamiento » est un nouvel exemple de la très grande biodiversité de la Colombie. Si l’on voit peu de jardin dans les centre-villes, de nombreux endroits existent proche des villes pour découvrir la nature ou s’y ressourcer.

Juste pour le fun ! 01/12/2009

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Un petit montage rapide avec des photos prises au parc du café.
Profitez en bien, qui sait quand est ce que vous reverrez nos enfants !

Museo del Oro Quimbaya (Armenia) : Photos 30/11/2009

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A la demande d’Andrea, voici quelques images en plus du Musee de l’Or d’Armenia.

Ancien article : https://echolombia.wordpress.com/2009/11/21/le-musee-de-lor-quimbaya-el-museo-del-oro-quimbaya/

Randonnée – cinquième et dernier jour 29/11/2009

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Philippe devant la Chiva, au Cedral

Dernier jour et retour sur Pereira : nous quittons donc le Centre de visiteurs pour longer l’Otun. Une marche dans la forêt et les champs nous amène à La Cedral, d’où une Chiva peut nous ramener à Pereira. Une Chiva (voir photo) est un moyen typique de transport collectif en Amérique du Sud. Nous profitons donc du retour. On peut quelquefois voir des singes hurleur dans la forêt que nous traversons. Malheureusement, nous n’en verrons pas. Nous ne nous attardons pas à Pereira, nous partons directement sur Manizales, pour mieux connaître la ville, avant de poursuivre sur Medellin.

Ces 5 jours de randonnée finis, nous en retenons beaucoup de choses.

D’abord, la dureté de la vie montagnarde : il y a ici un fossé entre les accueils chaleureux que nous avons eus partout où nous sommes passés et les accueils un peu rudes des paysans des montagnes. Si la Colombie s’ouvre au tourisme, la zone visitée est encore brute de décofrage, mais ca fait aussi son charme.

Nous retenons surtout la beauté des paysages andins, la richesse et la diversité des paysages et les écosystèmes. Mais aussi la nécessité de préserver tout celà : dans 20 ans, il n’y aura surement plus de neige au sommet du Nevado del Ruiz. Et le réchauffement climatique a des effets nombreux sur cette zone où les écosystèmes sont fragiles.

Randonnée – quatrième jour 28/11/2009

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Cascade la Pastora : les petits points au fond, c'est nous !

Le Parc Ucumari  étant une de nos étapes prévue dans la randonnée, nous allons en profiter. La tente repliée, nous marchons environ 1h30 avant d’arriver au centre de visiteurs du Parc, la Pastora.

Et là, bonne et heureuse surprise : Jorge et sa femme Luz, qui s’occupent du centre, nous accueillent très chaleureusement. Depuis le péron du centre, nous avons une jolie vue sur une cascade. Nous pouvons prendre une douche, on nous chauffe de l’eau, Luz nous prépare un bon repas et les lits sont confortables. Après 3 jours de marche, nous avons l’impression d’arriver dans un petit coin de paradis. Et arrivent au centre 3 étudiants francais en debut d’après-midi, les premiers francais que nous croisons depuis notre arrivée en Colombie.

Après s’être douchés, reposés, rassasiés et changés, nous repartons en début d’après-midi dans le Parc pour aller voir deux cascades à environ 45 minutes de marche plutôt tranquiles, puis retour au centre.

A la nuit tombée arrive au centre un anglais, complètement épuisé par un guide hyperactif, qui lui a fait faire en une journée le parcours que nous venons de faire en 3. Nous ferons ensemble le chemin du retour vers Pereira le lendemain, et nous apprendrons qu’il habite à Bogota avec son épouse colombienne et que ses parents ont acheté une maison en France, à côté de Limoges.

Le dîner n’est pas sans charme : il se fait à la bougie car il n’y a pas d’électricité au centre.  Nous discutons un peu après manger avec Luz et Jorge des différences culinaires entre la France et la Colombie, et allons nous coucher, heureux de cette bonne journée.

Randonnée – troisième jour 27/11/2009

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Si on avait su la marche qui nous attendais en partant de chez Alirio, on serait peut etre restés avec les vaches...

Le troisième jour de randonnée s’avère finalement être le plus dur. Comme nous sommes en haut de la montagne, et que nous souhaitons nous rendre au Parc Ucumari, qui est en bas de la montagne, et bien… il faut descendre.

Le guide nous prévoit 4 heures de marche, qui en fait s’avèrent plus proches des 7, en descente, sur des chemins de montagne assez durs. Les premières heures ca va, mais la fin est dure : il pleut, le chemin de pierres est glissant. Nous entrons néanmoins dans le Parc Ucumari et arrivons à la nuit tombée à Peña Bonita, une aire de camping. Enfin, par aire de camping il faut comprendre une clairière dans laquelle on peut planter sa tente.

Bref, une journée un peu dure au niveau de la marche. Mais passer de 4000 à 2000m nous a quand même permis de voir une grande variété d’écosystèmes des différentes altitudes de la montagne.

Randonnee – deuxième jour 26/11/2009

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Laguna del Otun

La nuit, bien que fraîche, se passe bien. Nous sommes debout tôt, car il y a un peu de marche pour nous rendre à la Laguna del Otun. La mauvaise surprise du matin est le prix de la nuit (15000 pesos /pers.), qui nous parait un peu abuser au vu de la froideur de la chambre et de l’accueil des propriétaires. Mais bon, comme les fermes ne sont pas très nombreuses dans la montagne, cela s’appelle la loi de l’offre et de la demande.

En plus de la chambre, nous devons rajouter 60 000 pesos pour que le paysan emmène à cheval nos bagages à la ferme où nous logerons ce soir. Bref, nous pensions dépenser peu en montagne, et bien c’est raté. Ces petits tracas matériels ne nous empêchent heureusement pas de profiter de la montagne.

El Nevado del Ruiz

Avec à nos côtés le Nevado Del Ruiz, les deux heures de marche se passent bien : les paysages sont magnifiques, le chemin est facile. Et la Laguna Del Otun tient toutes ses promesses : de 2 km de long sur 1 km de large, cette lagune de montagne, alimentée par des cascades qui descendent des pics enneigés, vaut réellement les efforts fournis pour y arriver.

La Laguna passée, nous passons ensuite devant la Laguna del Mosquito, qui se trouve à une quinzaine de minutes de marche de la Laguna Del Otun.

Par contre, la suite est un peu plus difficile : le guide ayant oublié le réchaud à gaz, notre déjeuner se résume a du pain et des barres céréales. Un peu dur quand on marche toute la journée à plus de 4000 m d’altitude.

Et notre journée de marche n’est pas finie puisque nous marchons encore deux bonnes heures pour arriver chez Alirio (le mari de Rosa chez qui nous avons dormi à Manizales) qui est fermier au lieu-dit Vagaseca (3800 m d’altitude), notre lieu de résidence pour la nuit.

Si son accueil est plus chaleureux que celui de la veille, les conditions de vie, elles, ne le sont pas. Le lit se résume à quelques planches de bois sur lesquelles on a posé un micro matelas. Alirio nous prête son feu, et nous engloutissons un plat de spaghettis, avant de nous coucher, fatigués par la journée.

Randonnée – premier jour 25/11/2009

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Avec Wilson, sur le parcours

Au cours de notre séjour à Pereira, nous avions rencontré Wilson Cordona, guide de montagne, qui nous a proposé 5 jours de randonnée dans le Parque Nacional Natural Los Nevados. Notre but est de voir la Laguna del Otun (qui se situe à un peu plus de 4000 mètres d’altitude). Il nous fait deux propositions : une au départ de Pereira (avec beaucoup de marche en montée) et une autre au départ de Manizales (avec moins de marche en montée car on peut nous amener en véhicule à un hameau appelé Potosi, situé à environ 3200 mètres d’altitude). La consommation de pizzas de la pizzeria Parma de Rosny sous Bois (mais aussi de bières au bar le 96 et de mégaburgers chez Lino pour Philippe) nous font opter pour la seconde proposition. Nous quittons Armenia lundi matin  pour nous rendre à Manizales.

Arrivés à Manizales, mauvaise surprise : Wilson nous annonce qu’il n’est pas possible de partir mardi matin, le transport vers Potosi ne fonctionne que les lundi, mercredi et vendredi. Nous sommes donc bloqués une journée à Manizales. Un mal pour un bien : la ville s’avère être très agréable. Elle est pour nous, et de loin, la plus accueillante des 3 grandes villes de la Eje Cafetero (Pereira, Armenia, Manizales).

Journée de visite et nous dormons chez Rosa, une amie de Wilson, qui habite à Villamaria, dans la banlieue de Manizales, qui est le point de départ du véhicule vers Potosi.

Mercredi matin, nous nous levons bien avant l’aurore car le véhicule part à 4h30. D’emblée nous entrons dans l’ambiance des 5 prochains jours : rudes. Finis les « Ola mi amigos, bienvenidos en Colombia, yo no hablo francese pero me gusto mucho Paris ». Ici, on montre avec ses doigts le prix du voyage, on parle le moins possible, et le sourire n’est même pas en option. Le véhicule s’avère être une sorte de petit camion, au fond duquel se trouvent 2 bans, pour les êtres humains qui ont la bonne idée de vouloir accompagner les provisions pour les paysans de la montagne. Wilson demande au chauffeur si Denise peut voyager devant, mais les sièges sont « ocupados ». Nous montons donc tous à l’arrière du véhicule, ou l’on charge également divers cartons, boites, et un générateur électrique qui empeste l’essence. Et c’est parti pour

Potosi, où nous aàdeposer le bus de Villamaria

4 heures de voyage assis sur un banc de bois dans un camion qui roule sur une piste ou les trous sont aussi nombreux que les graines de café sur un caféier.

Ouf, nous arrivons enfin. L’air est frais, l’oxygène plus rare, et nous sommes accueillis par les paysans locaux et une troupe de militaires qui campent à une centaine de mètres de là (qui sont d’ailleurs fort sympathiques, comme tous les militaires que nous avons rencontré jusqu’ici).

Les lapins sont partout, meme chez Doña Ana

Pour cette première journée, le programme est « tranquille ». Nous marchons environ une heure et arrivons dans la ferme de Doña Ana, chez qui nous allons déjeuner. Nous attendons donc (bien 2 heures) que le repas (qui est très bon) soit prêt. Nous repartons finalement vers 14 heures, pour environ 3 heures de marche plutôt tranquile jusqu’à la ferme de Edison, située à Campo Alegre, près d’une des entrées du Parque Nacional Los Nevados.

L’accueil est à l’image du climat : un peu froid et un peu rude. Les conditions sont assez sommaires : un lit dans une chambre où les vitres n’existent pas et ont été remplacées par du plastique. Quand il fait environ 2 degrés dehors, c’est dur. Mais la fatigue, l’altitude et de bonnes couvertures en laine nous font assez rapidement nous emdormir. Car demain, la laguna del Otun nous attend.

Jardin botanique du Quindio 22/11/2009

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Mariposario

Comme notre propos est quand même de voir les beautés naturelles de ce pays, direction en ce dimanche le jardin botanique du Quidio situé dans la commune de Calárca, à environ 10 km d’Armenia. Le jardin est une ONG colombienne de conservation, d’investigation et d’éducation.

Nous allons donc prendre le bus au Parc de la Constitution (1.300$ / pers. / trajet). 20 minutes plus tard, nous voici à Calárca. Accueil très efficace : on paie notre entrée (12.000$ / pers.) et dans les 5 min un groupe d’une dizaine de personnes part pour un parcours de 2h30 avec notre guide du jour, Diego. Au fil du trajet on passe par le palmetum, où l’on trouve une grande variété de palme, comme celle poussant à environ 1.400m, altitude à laquelle nous sommes. On traverse un petit pont, et là nous arrivons à un endroit très ingénieux d’observation d’oiseaux : nous sommes en effet dans un petite cabane avec un verre polarisé qui nous permet de voir sans être vus. On a pu y observer des azulejos, mielero verde, carpintero, … de très près.

Une journée au jardin botanique

Nous continuons notre parcours dans le parc, et nous voyons plusieurs “ matapalo”, une liane  qui grandit en haut des arbres, tombe jusqu’au sol et finit par complètement les ettouffer (comme sur la photo, où finalement on ne voit même plus l’arbre car il est complètement envahit par l’autre).

Puis nous arrivons au robotario, animatronics géants d’insectes qui nous permet de nous sentir un peu plus petit face à ces millions d’insectes qui peuplent nos sols. On poursuit avec le musée de géologie, pour finalement arriver au mariposario. Nous sommes d’accord pour dire que celui de Cali est plus impressionnant, mais il est vrai que celui-ci est beaucoup plus grand et donc les espèces sont plus difficile à observer. A noter également qu’il y a des tortues qui se fondent parfaitement dans le paysage. A noter aussi : le mariposario est en forme de papillon (cf. La photo)

Bon, voilà, on a terminé le parcours ! Journée très sympa, qui s’est terminée par une petite balade dominicale au centre ville d’Armenia, oú j’ai eu droit à un sandwich végétarien plein de sauce chez Q’bano… miam !!!

+ de photos de papillons :  https://echolombia.wordpress.com/2009/12/02/papillons/