Feria de Cali – Cabalgata 26/12/2009

Avec presque 4000 chevaux (ce n’est pas un spectacle, c’est simplement des proprietaires qui paient pour exhiber leur monture), voici le 2e temps fort de la Feria.

Feria de Cali – Salsodromo 25/12/2009

Une petite video pour que vous voyiez l’ambiance de folie du 25 decembre ici !

Mariposario del zoologico de Cali 23/11/2009

Avec beaucoup de retard, voici le petit film qu’on avait fait au zoo de Cali sur le Mariposario (endroit où on élève des papillons, si quelqu’un peut m’aider pour le nom en francais !). Enjoy !

Le centre-ville de Cali – El centro de Cali 11/11/2009

Depuis 10 jours que nous sommes à Cali, nous n’avions pas encore pris le temps de réellement visiter le centre-ville. Erreur réparée aujourd’hui !

Nous voici partis de bon matin pour prendre le Mio, le tout nouveau bus urbain de Cali, moderne, confortable, qui côtoie encore les dizaines de Busetas polluantes et dont le fonctionnement semble assez anarchique au non initiés comme nous.

Programme chargé en perspective : faire le tour du centre-ville de Cali : puente Ortiz, église La Ermita, placa Caicedo, église San Pedro, la Marced, et pour bien terminer la matinée, une halte calme et paisible au Musée Archéologique qui se trouve dans un ravissant couvent de style colonial, avec un très agréable patio.

Pause déjeuner, bon et pas cher au K-listo, pour un repas à base d’empanadas, d’arepas et de deditos con queso (en français, petit doigt de fromage), le tout accompagné d’un jugo de lulo (jus de lugo – Denise se charge de faire très prochainement un post sur le lulo, vous patienterez bien quelques jours pour en savoir plus sur ce délicieux fruit).

Et c’est reparti pour l’après-midi : musée de l’or, théâtre municipal, sociedad de megoras publicas (également maison de style colonial très jolie) avant de finir par la place des poètes. Enfin, place, y’a un arbre, et poètes, y’en a trois (en statue). Il y a surtout sur cette place des écrivains publics, avec des machines à écrire à l’ancienne, disposés contre quelques pesos à taper tout type de lettre. Service qui est poétiquement évoqué par le grand écrivain Gabriel Garcia Marquez dans son livre « l’amour au temps du choléra » du. Et fin de la journée au patio Bolivar, pour admirer les oiseaux de Omar Rayo (artiste contemporain colombien).

Journée fatigante, mais qui nous a bien immergé dans la vie des calinos. Car si l’on vous a parlé des monuments, on ne peut parler du centre ville sans évoquer les centaines de vendeurs ambulants qui vendent de tout, les innombrables gardes et policiers de trafic, les vendeurs de « minutes d’appel » de téléphone portable (5 à 7 centimes d’€ la minute), ceux qui ont des étalages de « fruit cigarettes boisson chewing-gum bonbon journaux médicament » (tout sur le même étalage), la pollution et le trafic, l’amabilité des colombiens et la chaleur de la ville dès le matin.

On pense y retourner jeudi, mais ils nous ont importé la « journée sans voiture », on verra si c’est possible ou si les transports en commun sont surchargés !